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Viafontis Bordeaux : Nous valorisons le potentiel d’investissement

Lettre financière N°51 Février 2024

Edito

Etats Unis
• Aux États-Unis, l’année 2023 s’est caractérisée par une croissance économique soutenue, portée par des dépenses publiques robustes et une main-d’œuvre résiliente. Cependant, l’horizon s’assombrit avec des signaux de ralentissement liés au durcissement des conditions financières. En 2024, l’économie américaine devrait connaître un repli à 2.1 %, suivi de 1.7 % en 2025. Alors que l’inflation baisse, des incertitudes persistent, accentuées par les tensions géopolitiques. Avec une année d’élections aux États-Unis, l’administration Biden pourrait réinjecter des fonds dans l’économie, stimulant ainsi les marchés américains. Le pivot de la Fed et les réformes structurelles deviennent cruciaux pour garantir une croissance future.

Europe
•En Europe, la politique monétaire maintient les taux d’intérêt stables, mais envisage une possible baisse au troisième trimestre de 2024 en cas de fléchissement de l’inflation. Bien que l’orientation générale reste restrictive, cette baisse potentielle pourrait être bénéfique aux marchés actions européens. Les banques centrales continuent de réduire leurs bilans, accentuant les tensions sur les taux à long terme. La croissance a ralenti en 2023 en raison de conditions financières strictes, d’attaques en mer Rouge et de retards de livraison, avec une reprise prévue en 2024 et 2025. Les réformes structurelles sont nécessaires malgré les menaces géopolitiques et les incertitudes budgétaires, consolidant ainsi les bases de la croissance future en Europe.

Asie
• En Asie, deux réalités économiques distinctes se dessinent : le Japon maintient une politique monétaire accommodante tout en envisageant des taux d’intérêt plus élevés face à une inflation potentielle, tandis que la Chine adopte des mesures stimulantes, incluant des baisses de taux, pour favoriser la croissance et dynamiser les marchés boursiers. Ces stratégies divergentes influent sur les dynamiques des marchés financiers asiatiques, reflétant les différentes perspectives économiques et les approches adoptées par ces deux puissances économiques régionales.

Matières premières
•En 2023, l’or a progressé de plus de 11%, soutenu par son statut de refuge face aux hausses des taux d’intérêt, aux événements géopolitiques et au stress bancaire. Les banques centrales ont continué d’acheter de l’or dans le contexte de la « dédollarisation »..

Synthèse du mois

Deux années indécises avant plus de visibilité sur les marchés.

Les indices d’actions comme le CAC40 ou l’eurostoxx50 ont atteint leurs niveaux le plus élevé de ce cycle économique. Cependant les indices PMI manufacturiers chutent lourdement depuis des mois et annoncent un ralentissement de l’activité. Les chiffres de prêts des banques sont également en contraction brusque et des secteurs comme l’immobilier font face a une baisse de profitabilité qui peut créer un effet boule de neige en contaminant des banques.
Les investisseurs anticipent une baisse des taux des banques centrales en Europe et aux US pour contre carrer le ralentissement ; 1.5% de baisse de taux est anticipé sur les douze prochains mois, plus qu’en 2000 et 2007. Ils pensent que le taux d’inflation reviendra à 2% sans affecter la stabilité financière et c’est la raison de la hausse des marchés particulièrement en Europe. Mais en 2001 et 2008, la FED avait baissé les taux de plus de 4% !
On peut citer comme ceux-là une panoplie d’indicateurs avancé qui ne vont pas dans la même direction. Essentiellement on ne sait pas si la hausse actuelle est soutenable. Ou s’il y aura une baisse de 20% sur les indices avant qu’ils ne reprennent leur marche haussière. La courbe des taux est en ce moment inhabituel et reflète cette indécision. Les taux courts restent à des niveaux élevés au vu de l’inflation et offrent une opportunité de rendement.

Nos convictions

1.l ln’y a pas de fin en vue pour les dépenses déficitaires aux États-Unis et dans l’UE car le populisme est là pour rester. Une récession aux États-Unis n’est donc pas imminente.

2. Le S&P500 pourrait atteindre 5 500 et les principaux indices boursiers seront corrélés même si une légère récession est probable en Europe.

3. Le rendement des obligations du Trésor américain à 10 ans pourrait être plus proche de 5 % en 2024.

4 Les flux de fonds pourraient se tarir et entraîner une baisse des actifs à risque au cours du premier trimestre. La baisse devrait être achetée.

5.. La volatilité devrait se détacher de l’indice. Cela favorisera la sélection d’actions. 10. Le marché s’attend à ce que la FED réduise les taux de 1.5% et ils finiront par se réduire entre 0.75% et 1% seulement.

Nos choix pour le mois à venir

Après avoir arbitrer entre 10 à 20% sur le fonds structuré Tarn à capital garanti en fin d’année, et sachant que le fonds Viafontis Conviction sera lancé le 25 mars 2024, il s’agira d’augmenter le poids d’action en titre vifs, d’ajouter des obiligations car le risque de récession a été repoussé et en priviligiant l’achat à la baisse

LES CONTRATS FRANCAIS

Pour faire fructifier son épargne, les trois facteurs les plus importants sont : 

  • La pertinence de l’allocation
  • Bénéficier des cadres fiscaux les plus avantageux
  • Le choix des contrats les mieux adaptés à vos objectifs et les compagnies les plus solides.

Pour faire un choix pertinent de placement il est fondamental de définir vos objectifs et de réaliser un profil de risque. Cela va permettre notamment de déterminer quelle volatilité maximale vous êtes prêt à accepter sur vos portefeuilles.

La volatilité est la propension d’un titre à s’écarter de son cours moyen au cours d’une période donnée.

Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Les avantages du contrat Luxembougeois

Bien qu’il soit encore peu connu, ce contrat présente des avantages intéressants que nous allons vous présenter.

Tout d’abord, il s’agit d’un contrat plus sécurisant. En effet, il bénéficie d’une meilleure garantie des dépôts. Avec un Luxembourgeois l’intégralité des fonds sont garantis, contrairement à un contrant français, qui garantit au maximum 70 000 euros. Mais cela s’explique également par la non-application de la loi Sapin II. Sous certaines conditions, cette loi ne s’applique pas aux contrats Luxembourgeois. De ce fait, les disponibilités de l’épargnant ne seront pas remises en cause.

Le contrat Luxembourgeois est également  plus performant. La possibilité de bénéficier en moyenne  de 10 fois plus de fonds qu’un contrat français permet alors de choisir des fonds plus performants. Enfin, le fait de pouvoir créer un Fonds Interne Dédié (FID)  permet à son souscripteur d’avoir un fonds conforme à son profil et ses convictions, et donc d’accroitre sa performance.

Si vous avez des questions supplémentaires, n’hésitez pas à nous contacter. 

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